Comprendre le «Umvelt» des autres espèces, qu’ils perçoivent et perçoivent les choses différemment, bien que parfois de manière similaire, à l’homme. Nous ne pouvons pas voir les ultraviolets rayons ou de détecter les ultrasons et les infrasons, en dehors de nos gammes visuelle et auditive .. mais de nombreuses espèces d’animaux peuvent. Ils peuvent donc être affectés par des choses que nous ne pouvons pas percevoir, ce qui est important à prendre en compte dans le changement de comportement.
«Chose étonnante, les chiens, comme les abeilles et autres insectes, les poissons, certains oiseaux, les reptiles et certains autres mammifères, peuvent également détecter la lumière UV car ils ont des lentilles qui transmettent les rayons UV. basé sur la présence de cryptochrome 1, une flavoprotéine sensible à la lumière bleue et à l’orientation magnétique dépendant de la lumière. »
SOURCE DE CET ARTICLE ICI
Les oiseaux migrateurs, certains reptiles et les poissons réagissent à l’orientation magnétique de la Terre, mais la capacité des chiens à détecter le champ magnétique est inattendue. Il sera intéressant de voir comment ces découvertes sensorielles visuelles stimulent la recherche future – peut-être que les chiens peuvent être formés comme des boussoles en direct?
Bien que la vision des couleurs ne soit pas leur spécialité, les chiens sont particulièrement sensibles à la lumière tamisée et peuvent prendre plus de temps à se remettre de l’exposition à la lumière vive. Les chiens ont une couche spéciale de tissu dans leurs yeux qui agit comme un système de réflecteur biologique appelé le tapetum lucidum. Un exemple de cela peut être vu dans l’image ci-dessous.
Ce système de réflecteur est trouvé dans d’autres vertébrés, autres que les humains, et agit pour améliorer la sensibilité à la lumière en réfléchissant la lumière entrante à travers la rétine deux fois. Différentes races de chiens ont été observés pour avoir des zones de tapetures de tailles différentes; les chiens plus petits ont tendance à avoir des zones tapetales plus petites tandis que les chiens plus gros tendent à avoir de plus grandes zones tapetales. Bien que n’étant pas encore étudié, ces différences peuvent affecter la performance d’un chien sur les études cognitives en fonction des conditions d’éclairage. De même, si les chiens prennent plus de temps à se remettre d’une lumière vive (une heure) que les humains (30 minutes) et que les études cognitives visuelles ne tiennent pas compte de cette limitation, la performance de discrimination du chien pourrait en être affectée.
De plus, comparé aux humains, l’acuité visuelle d’un chien n’est pas aussi nette. Ce que les humains avec une vision normale peuvent voir à une distance de 75 pieds, les chiens pourraient voir avec une acuité similaire à 20 mètres.
Les chiens perçoivent la profondeur comme indiqué par leur entraînement d’agilité, attraper des Frisbees, voler des sandwichs sur les comptoirs et sauter sur des meubles de différentes hauteurs.
Pourtant, leur stéréopsie (c’est-à-dire leur capacité à percevoir le monde en 3 dimensions, qui dépend du chevauchement binoculaire) peut être affectée par l’ensemble de leurs yeux et la longueur de leur nez. Il semble également être dépendant de l’âge, car les chiens adultes ont mieux réussi les tests de perception de la profondeur que les jeunes adultes ou les jeunes adultes.
Percevoir cela. . .
Étant donné qu’une grande partie des tests cognitifs sont maintenant effectués avec des ordinateurs et des moniteurs de télévision dont les fréquences d’images ou les vitesses de scintillement sont différentes, les chercheurs doivent être sensibles à la façon dont le sujet perçoit et perçoit ces variations de stimuli visuels. En lien avec cette question, les chiens peuvent-ils faire la distinction entre différents objets en fonction de la forme (2-d, 3-d, lignes, formes), de la taille, de la quantité ou de la taille relative?
Est-ce qu’ils préfèrent se concentrer sur des détails spécifiques ou locaux comme les pigeons (les E qui composent le H) ou sur le trait global comme les humains (le H)? Évidemment, les chiens testés ont préféré les caractéristiques globales globales et ont retenu cette préférence deux ans plus tard.
En fin de compte, selon l’étude de Byosiere et ses collègues, il est essentiel que les chercheurs connaissent les limites physiques du système sensoriel visuel du chien car les résultats des études cognitives peuvent ne pas être valides si les stimuli sont trop petits ou si les chiens sont à une distance à laquelle leur acuité visuelle est limitée. Ces problèmes ont peut-être joué un rôle dans la recherche qui a testé la sensibilité des chiens à diverses illusions visuelles et à des visages humains, en particulier lorsqu’on leur a demandé de faire la distinction entre différentes expressions émotionnelles humaines.
Tout est à propos de votre point de vue. . .
En fin de compte, alors que les chiens sont capables d’inter-se reproduire, il est clair que la morphologie varie largement parmi les races. Comme l’ont souligné Byosiere et ses collègues, les caractéristiques peuvent avoir été choisies en raison de petites différences dans la perception visuelle qui les rendaient meilleures ou moins bonnes dans l’exécution de tâches fondées sur la vision. Ainsi, les races comme les carlins (un chien brachycéphale) réussissent mieux sur les tâches gestuelles humaines que les races comme les teckels (un chien dolichocéphale) sans doute parce que leur museau ne gêne pas! Il est clair que des recherches beaucoup plus «fondamentales» sont nécessaires pour s’assurer que les tests cognitifs en cours ne sont pas limités par des contraintes physiologiques fondamentales.
L’article sur la psychologie est axé sur cet article:
Byosiere, SE, Chouinard, PA, Howell, TJ, et Bennett, PC (2017). Que voient les chiens (Canis familiaris)? Un examen de la vision chez les chiens et des implications pour la recherche cognitive. Bulletin et revue psychologiques , 1-16. DOI: 10.3758 / s13423-017-1404-7 .
GOLDEN RETRIEVER DE LOUISETTE 